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    « Nous, direct, on signe on s'en va. Ici, on est payés à rien foutre», explique l’un de ces étudiants fictifs de l'Université de Perpignan, venu uniquement pour émarger le jour de l’examen pour pouvoir prétendre à sa bourse étudiante. « On a la bourse, on travaille de partout au noir, on s'en tire avec 1 500 euros facile », ajoute-t-il.
    Dans le journal français Le Monde, Pascale Kremer Pascale explique que le problème des étudiants fictifs devient de plus en plus inquiétant. «Ces faux étudiants existent depuis toujours mais nous notons une accélération depuis deux-trois ans, en lien avec le chômage des jeunes et l'absence de dispositif de soutien financier pour cette période de transition entre lycée et activité », indique Fabrice Lorente, le président de l'Université de Perpignan, dans le département des Pyrénées Orientales.
    Ces étudiants bénéficient d’une bourse de 470 euros mensuels pendant 10 mois, qui les autorise à travailler, et leur permet de bénéficier de nombreuses exonérations (dont celle des frais d’inscription à l’université), de l'inscription à la Sécurité Sociale, et de réductions. Mais pour la percevoir, les élèves doivent se présenter aux examens et à certains cours (« travaux dirigés », ou TD).
    Du coup, les élèves qui ne le sont que pour percevoir ce viatique ne viennent aux examens que pour émarger, mais comme ils doivent rester au minimum un tiers de la durée totale de l’épreuve, ils piaffent d’impatience et dérangent les autres élèves. Et dans les TD, ce n’est pas mieux : les étudiants factices perturbent le cours, ils sont agités, jouent avec leur téléphone portable, quand ils ne dorment pas ouvertement sur leur bureau.
    Pour les doyens d’université, ces étudiants ne posent pas qu'un problème de discipline. En effet, le financement des universités dépend pour partie du taux de réussite en première année, et ces étudiants qui ne font rien augmentent le taux d’échec aux examens. Les taux de réussite en première année pour les filières Administration Economique et Sociale et Sociologie, deux filières prisées par ces faux-étudiants, ne sont respectivement que de 15 % et 29%. Mais lorsque l’on retire les élèves factices des calculs, ils grimpent à 44% toutes les filières confondues.

    Selon les doyens des facultés de lettres et de droit, Nicolas Marty et Yves Picod, le gouvernement ferme les yeux sur ces «étudiants fantômes», et ce faisant, il achète la paix sociale. La bourse apporte un complément de revenu bienvenu pour les familles souvent modestes de ces étudiants. Et en conservant le statut d’étudiant, ceux-ci sont éliminés des statistiques du chômage.
    Ces deux doyens souhaiteraient que l'on impose des résultats minimaux aux examens pour le maintien de la bourse, mais d'autres s'interrogent sur cette proposition. Les professeurs de sociologie redoutent que les étudiants boursiers qui étudient réellement, ou leur matière, ne soient stigmatisés. Ils soulignent qu’un grand nombre de ces faux étudiants sont d'origine maghrébine, ce qui ajoute une dimension raciale à ce problème.
    Jean Jacob, professeur de sciences politiques, propose quant à lui de supprimer la limite d’âge du Revenu de Solidarité Active (RSA). Le RSA est une allocation qui est actuellement attribuée aux personnes sans ressources âgées d’au moins 25 ans. Si les plus jeunes pouvaient également en bénéficier, ils n’auraient plus besoin de faire acte de présence à l’université, et de ce fait, ils ne dérangeraient plus les étudiants studieux.


    Patrice JOLY
    Responsable Région Languedoc-Roussillon
    Secrétaire Départemental Pyrénées-Orientales
    Génération Patriotes


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  • Extension des allocations familiales aux ressortissants algériens à l'heure où François Hollande annonce une baisse des prestations familiales.

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    On nous l'aurait caché ! Et pourtant la politique familiale française est désormais étendue aux enfants de ressortissants algériens, même nés à l'étranger. La décision a été prise le 5 avril dernier. A partir de cette date, tout parent algérien pourra toucher des allocations familiales en France, au titre de ses enfants, nés en Algérie, et qui décideraient de rejoindre la France. "l'Europe impose à la France d'étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d'immigrés, mêmes nés à l'étranger." Une décision qui s'expliquerait par la jurisprudence de la Cour de justice de l'Union européenne, mais également par un accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001 qui précise qu'un "ressortissant algérien résidant légalement dans un Etat membre soit traité de la même manière que les nationaux de l'Etat membre d'accueil" et particulièrement en ce qui concerne "l'octroi d'une prestation sociale". Cette décision enterre donc la loi Pasqua de 1993 qui disposait qu'"un ressortissant étranger qui vit en état de polygamie" ne pouvait alors pas obtenir de carte de résident de 10 ans ainsi que de faire bénéficier plus d'un conjoint du regroupement familial. D'où bien entendu cette piqûre de rappel avec l'affaire Lies Hebbadj, un homme qui avait été poursuivi en 2010 pour polygamie et escroquerie aux aides sociales. Un homme qui aujourd'hui ne devrait plus connaître de problèmes… On estime d'ailleurs à 80 000 le nombre de pères dans le cas de Mr Hebbaj. C'est un chiffre révélé en 2010 par les services du ministère de l'Intérieur. Une nouvelle qui risque fort de faire polémique alors que François Hollande a déclaré, que les allocations familiales baisseraient bien, et à partir de 5 000 euros de revenus.
    Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de “non-discrimination” inhérent à la jurisprudence européenne — laquelle interdit depuis les années 1980 aux États de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques — mais aussi l’accord euro-méditerranéen Union européenne-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union. Et sans doute demain, à tous les États extra européens avec lesquels la France a signé des traités analogues !
    Cela signifie, en clair, que tous les efforts faits par la France depuis 1993 pour limiter les fraudes au regroupement familial viennent de voler en éclats : à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée… À l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale, on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration !

     

    Patrice JOLY
    Responsable Région Languedoc-Roussillon
    Secrétaire Départemental Pyrénées-Orientales
    Génération Patriotes


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  • Issue d'une famille de résistants j'ai été élevée dans le respect de la patrie et des valeurs nationales.
    Déçue du paysage politique et économique actuel, j'ai tout naturellement rejoins ce groupe qui souhaite défendre et perpétuer nos vraies valeurs.

    Après une vie consacrée au travail pendant plus de vingt ans  et, parallèlement, à l'éducation de mes enfants, j'ai du lever le pied suite à de gros problèmes de santé, je dispose donc à présent du temps nécessaire pour me consacrer à notre cause.

    En bref, je n'aime pas parler de moi, mais si je devais me définir en trois mots, selon l'avis des gents qui me connaissent bien,
    Discrète mais efficace !

    Si vous êtes Vosgien, contactez moi par mail :

    responsablegpvosges@gmail.com

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  • Réunis au mois de juin dernier à l’occasion des cinquièmes rencontres parlementaires de la sécurité nationale, l’ensemble des services de renseignement français était à l’unisson pour dresser le portrait de la profession.
    La permanence du renseignement est probablement celui qui revient le plus souvent. « Aujourd’hui nous ne l’avons pas. Nous disposons au mieux qu’une bonne répétitivité. Mais cela s’améliorera avec les drones », explique ainsi le représentant de la Direction du Renseignement Militaire. Ce en quoi il est rejoint par Rémi Maréchaux, directeur de la stratégie à la Direction Générale de la Sécurité Extérieure : « Nous avons également besoin d’assurer la permanence du renseignement, notamment pour mener des opérations d’entraves ».
    Les capacités de coopération entre les services et de corrélation du renseignement sont également une attente forte.
    Même discours aux douanes, où Jean Paul Garcia, directeur national du renseignement et des enquêtes douanières va plus loin : « Il est impératif de mutualiser les ressources, de partager l’information et de reconnaître les compétences de chacun. Un exemple : l’explosion du trafic de tabac à narguilé observé par les services des douanes est souvent en lien avec des personnes d’intérêt pour d’autres services, parce qu’elles sont impliquées dans d’autres activités ».
    La difficulté réside bien sûr non seulement dans l’identification de la bonne information au bon moment, mais aussi dans le processus qui lui permettra d’atteindre la bonne personne ou le bon service, celui qui saura la valoriser au mieux. « C’est toute la difficulté aujourd’hui : partir du renseignement de terrain, par exemple via la Gendarmerie, et le remonter jusqu’au sommet », explique Patrick Calvar, directeur central du renseignement intérieur.
    « Le défi est désormais dans l’identification des signaux faibles, et donc la corrélation. Pour cela, le système d’information est la clé. Quant à la diffusion du renseignement, nous venons de mettre en place une cellule d’analyse stratégique pour faire remonter plus rapidement l’information », précise Albert Allo, directeur adjoint du service de traitement du renseignement et action contre les circuits financiers.
    « En Syrie, les opposants utilisent énormément internet, essentiellement pour repérer leurs cibles. Et nous avons saisi plus d’une centaine d’ordinateurs au Mali, dans des caches d’armes. Ils les utilisent notamment pour accéder ou échanger des informations sur les technologies de fabrication d’explosifs », confirme le représentant de la DRM.
    Pourtant les services ne peuvent pas faire l’impasse : ils doivent évidemment être présents sur les réseaux. Et désormais en particulier pour faire face au phénomène d’auto radicalisation sur internet.
    « Nous travaillons beaucoup sur l’islamophère et ses islamonautes. Le sujet prend de l’importance : la dernière édition du magazine Inspire (propagande d’Al-Qaïda) s’est téléchargée à cent mille exemplaires sur internet. Cependant si nous partons effectivement du réseau, nous corrélons ensuite avec d’autres informations, comme des préparations de voyages, des appels à l’étranger, des discours publics. Car internet seul ne suffit pas à traiter la question », précise Rémi Maréchaux de la DGSE.

    C’est d’ailleurs devenu l’un des axes de travail majeur de la direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD). « Notre focus aujourd’hui est devenu la lutte contre le terrorisme islamiste. Nous constatons une augmentation de la radicalisation parmi les militaires français, notamment après l’affaire Merah », reconnaît le Colonel Pascal Rolez, adjoint au sous-directeur contre-ingérence de la DPSD. Changements vestimentaire, de dialectique, arrêts maladie trop fréquents, voyages, vol de matériel : autant de marqueurs que la DPSD observe avec attention afin d’identifier au plus tôt les tentations radicales au sein des forces françaises. Et la crainte n’est pas fantasmée : « Nous intervenons régulièrement en assistance de la DCRI lors d’opérations contre les cellules terroristes car trop souvent hélas dans ces cellules, ou autour d’elles, l’on trouve des militaires français », avoue le Colonel Rolez.
    Autre sujet majeur de préoccupation de nos services de renseignement, la situation en Syrie. Et en particulier les départs au front de « combattants de la liberté » de nationalité française. Patrick Calvar (DCRI) ne mâche pas ses mots : « C’est une catastrophe. L’ampleur de ces départs est sans précédents : les volumes sont tels qu’on ne peut plus les traiter individuellement à leur retour. En outre beaucoup de ces départs ne nous sont pas connus, et pourtant la dangerosité de ces individus est avérée à leur retour. Beaucoup doivent notamment faire face à des syndromes post traumatique (bien entendu sans pouvoir bénéficier d’assistance spécialisée). Qui plus est nous n’avons aucun soutien juridique pour agir car la qualification d’association de malfaiteurs ne peut être retenue : les groupes qu’ils rejoignent ne sont pas qualifiés de terroristes par la communauté internationale », explique le DCRI. Pour juger de l’ampleur du problème : il y aurait eu en un an plus de départs pour la Syrie que toutes les zones de conflits confondus jusqu’à présent.
    A l’issue de ce débat l’on comprend mieux l’appel de nos services de renseignement pour une meilleure coopération. Ils sont désormais forcés d’opérer dans un contexte aux lignes floues. Où un militaire français peut aussi être un sympathisant islamiste en puissance, où un internaute inconnu peut devenir en l’espace de quelques semaines un fanatique prêt à donner sa vie, et où leurs adversaires sont non seulement largement fondus dans la population mais disposent également d’équipements de communication et de chiffrements performants.


    Patrice JOLY
    Responsable Région Languedoc-Roussillon
    Secrétaire Départemental Pyrénées-Orientales
    Génération Patriotes


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  • 04.08-pompiers.toulouse_scalewidth_630

     

    Communiqué de Stéphane Lorménil - Président de Génération Patriotes
     

    Recrudescence ces derniers temps d'attaques sur les pompiers et SAMU. Encore ce week-end à Toulouse, des sauvages, s'en sont pris aux services de secours intervenants pour porter assistance à une dame agée et une autre à accoucher à son domicile.
     
    La politique "molle" et inconsciente voulue de nos politiques engendre la violence de racailles. Pour ne pas embraser les banlieues, Valls n'agit pas, pas ou peu d'arrestations, et même quand il y a arrestation, ces barbares jouissent d'une impunité que le peuple français ne comprend pas.
    Tabassez un pompier, vous risquez moins que de déployer pacifiquement une banderole sur le toit du siège du PS ou encore de rouler 5km/h au dessus de la limite autorisée.
     
    Génération Patriotes exige des mesures strictes, à hauteur des actes commis. Que la police ne soit plus bridée, qu'on lui donne les moyens d'agir.
    Ce ne sont ni plus ni moins des déclarations de guerre.
     
    Alors il faut répondre par des moyens de grande ampleur, on ne soigne pas la gangrène avec du sparadrap. 
    Monsieur Valls, vous devez protéger les Français.
     
    De plus, que la justice gauchiste de Madame Taubira condamne fermement les auteurs de ces actes : prison ferme, suppression des allocations familiales...
     
    Monsieur Hollande, il est temps d'agir, sortez de votre monde des Bisounours sortez vous les doigts du cul et protéger le peuple, sinon, il se protégera lui même.
    Les Français en ont marre...
     
    Stéphane Lorménil
    Président de Génération Patriotes

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